autrement vu autrement dit

  SYNOPSIS Un professeur de l'université d'Oujda est assassiné, le risque est grand de revoir des évènements tragiques dans la région, Zohra est envoyée en misssion pour découvrir le ou les assassins du professeur. Elle découvrira le rôle joué par les truands marseillais dans cet assassinat.             COUP DE FEU CHEZ LES AMAZIGHS                                         La GOMME chez les Guanches                                                          De Ali GADARI   La pluie arrosait copieusement   Oujda et ses environs.  L’Algérie pourtant proche était invisible derrière ce rideau de pluie.  La Grande Mosquée Al Jamaa Al Kabir pierre précieuse de la culture arabo-andalouse cons...

  Leila au retour de l'école.

  Je viens de terminer ma soixantième page de mon roman, il m'en reste au moins autant pour écrire le mot fin. Je doutais de la qualité de mon récit, je craignais qu'il soit mièvre, peu intéressant. C'était toujours ce qui m'animais lorsque j'écrivais, le doute s'installait dans mon esprit. Je faisais toujours lire mon récit en premier à l'une de mes lectrices. Elle m'a rassuré avec des mots qui m'ont fait plaisir. Voici rapidement une ligne de son envoi:    Je viens de terminer la lecture qui m'a bien intéressée: des anecdotes, des informations. De la poésie,  de la science, de l'histoire........ C'est réconfortant, cela m'encourage. Un auteur a toujours peur de ne pas être crédible, de passer à côté du sujet. Grand merci à cette lectrice qui m'a bien encouragé.

je vous demande à nouveau de mettre un commentaire sur mes blogs, j'ai besoin de vos avis, je compte sur vous ne soyez pas timide, j'accepte les commentaires négatifs, tant qu'ils ne sont pas insultants.  Ali

      Photographie Googgle Je n'ai jamais cessé de marcher vers mes racines d'homme sans sourciers, sans boussole sauf ma colère puisée dans le poumon du peuple et les clameurs inédites de l'histoire sauf mes yeux n'ayant rien perdu du désastre des ruelles et de la rareté du pain J'avais mal à mes racines

  Cela va tout doucement, même au pas. C'est difficile, mais cela avance, aujourd'hui, j'en suis à trente sept pages. C'est peu, mais rapport au travail que j"ai fourni, c'est beaucoup. C'est fou comme cela me fatigue, à croire que je fais du terrassement toute la journée. Pauvre Ali, me dit Aïcha, crois-tu y arriver? Bien sûr que j'y arriverais ma chère, il n'y a pire arriviste que celui que l'on enduit de doutes!

  Bonjour à tous mes lecteurs, j'ai besoin de vos commentaires pour mieux vous connaître. J'ai besoin de connaître vos réactions par rapport à mes pages, cela m'aiderait beaucoup dans l'écriture. Vous êtes très nombreux à me lire, mais vous ne me laissez pas de commentaires. Je compte sur vous, merci, à bientôt de vos nouvelles. 

 J'attends de digérer les trente premières pages de mon roman. J'attends de promouvoir les trente prochaines. J'avais besoin d'un peu de temps devant moi, d'organiser dans ma tête, la succession de mots et de phrases. Je ne me rendais pas compte des efforts qu'il a fallu faire pour arriver à ce résultat. Je me demande si j'arriverai au bout de mon histoire? La pénibilité d'écrire est incroyable. C'est rassurant, si j'y arrive ce sera un grand moment dans ma vie. Réussir un défit, ce n'est pas commun!