UNE VIE



UNE VIE

Qu'est-ce qu'une vie, juste un instant fugitif de l'espace temps. Je n'ai pas vu les instants passés depuis mes couches culottes, mes premiers amours et l'orée du paradis ou de l'enfer qui m'attendent.
Aurais je à me plaindre, nenni, la vie a été plutôt bonne grâce à une santé honorable.
J'ai été un élève passable, haïssant le calcul, les mathématiques. J'ai réussi néanmoins à obtenir mon certificat d'Etudes à la grande satisfaction de mes parents. Ceux ci m'ont inscrits au cours complémentaire, ce qui correspond aujourd'hui au collège. Au bout de trous mois mes parents m'ont retiré de l'école devant l'évidence de mes inaptitudes algébriques, géométriques et autres.
J'ai eu un premier emploi à quatorze ans au Journal **Combat** rue Montmartre comme adressographe, cela consistait chaque jour de confectionner sur des plaques en zingue les adresses pour les abonnés et de les d'imprimer.
Puis j'ai choisi une autre voie en m'exilant à SALBRIS une petite ville charmante du Loir Et cher, pour apprendre à souder l'acier sous la direction d'un compagnon spécialisé. Le gaz de Lacq avait fait son trou et son chemin au milieu de la Sologne par de gros tuyaux d'acier qu'il fallait raccorder.
A la fin de ce très gros chantier, je suis resté à SALBRIS pour travailler à la serrurerie de la ville.
De retour en région parisienne, j'ai été embauché pour travaiiller quelques semaines à CARMEAUX, la patrie de Jean-Jaures Après différents boulots je suis entré à la Compagnie Générale des Eaux, aujourd'hui Véolia jusqu'à la retraite. J'ai bénéficié de cette période que les jeunes ne connaîtrons plus, je suis parti à cinquante cinq ans! Mon épouse travaillait également à la Compagnie Générale des Eaux. Dès ma retraite, je suis parti vivre en Guadeloupe sous la Côte sous le vent en Basse-Terre à BOUILLANTE. J'ai fait construire une case en bois typique des Antilles.
Ma femme est malheureusement décédée d'un cancer à la veille de sa retraite.
Je suis resté vingt cinq ans en Guadeloupe ayant beaucoup aimé cette région.
En fin 2012, j'ai, émigré pour finir ma vie au MAROC, me convertir à l'Islam et me marier avec Aicha. Aujourd'hui au Maroc tout le monde m'appelle Ali, le nom que j'ai choisi en Islam.
Voici décryptée ma vie et à 81 ans moins 3 mois, j'essaie de vivre bien, en lisant, écrivant et publiant beaucoup sur Facebook et mon blog https://www.blogger.com/blogger.g….
En Guadeloupe j'ai eu la chance de fréquenter des journalistes des gens avec qui j'avais des relations intéressantes, amicales même. Correspondant de presse pour le journal régional **France Antilles**. Des amis m'ont félicité à mon grand étonnement de mon style littéraire et m'ont poussé à écrire. Après bien des hésitations je me suis mis à écrire des nouvelles. L'une de ses nouvelles a été éditée dans Facebook et Mon blog tiré de mon recueil de nouvelles érotiques, **Erotissime** sous mon nom de plume Paul Edouard GOETTMANN. Ce recueil a été vendu en ligne et vient d'être traduit en anglais à ROCHESTER aux ETATS UNIS. Pourquoi Paul Edouard GOETTMANN? Paul est mon deuxième prénom, Edouard est le prénom de mon traducteur aux ETATS UNIS et GOETTMANN est le nom de jeune fille de ma maman!
Quatre autres ouvrage ont été corrigés, je les attend d'un jour à l'autre. Je les présenterai, à une grande librairie de CASABLANCA......Inch Allah.
ALI






Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

Comment Le Creusot, berceau industriel ravagé, a su rebondir,

**Gilets Jaunes** pourquoi le **bleu**Macron entre dans la zone rouge?

Le chef de Daech, Abou Bakr al-Baghdadi, pourrait avoir été tué par l'armée russe?