by Taras Shevchenko (9 March 1814 – 10 March 1861)
You did not play me false, 0 Fate,
You were a brother, closest friend
To this poor wretch. You took my hand
When I was still a little tot
And walked me to the deacon's school
To gather knowledge from the sot.
"My boy, just study hard," you said,
And you'll be somebody in time!"
I listened, studied, forged ahead,
Got educated. But you lied.
What am I now? But never mind!
We've walked the straight path, you and I,
We have not cheated, compromised
Or lived the very slightest lie.
So let's march on, dear fate of mine!
My humble, truthful, faithful friend!
Keep marching on: there glory lies;
March forward - that's my testament.
ДОЛЯ
Ти не лукавила зо мною;
Ти другом, братом і сестрою
Сіромі стала; ти взяла
Мене, маленького, за руку
І в школу хлопця одвела
До пьяного дяка в науку.
„Учися, серденько: колись
З нас будуть люди” – ти сказала.
А я й послухав, і учивсь,
І вивчився. А ти збрехала!
Які з нас люди?.. Та дарма!
Ми не лукавили з тобою,
Ми просто йшли, – у нас нема
Зерна неправди за собою...
Ходімо ж, доленько моя,
Мій друже вбогий, нелукавий!
Ходімо дальше: дальше слава,
А слава – заповідь моя.
https://lnkd.in/dYXKsMq
['Fate', 1894, Carlos Schwabe]:-
…voir plus
Notez cette traduction
« Destin »
par Taras Shevchenko (9 mars 1814 - 10 mars 1861)
Vous ne m’avez pas joué faux, 0 Destin,
Tu étais un frère, un ami le plus proche.
À ce pauvre misé rable. Tu m’as pris la main.
Quand j’étais encore un peu tot
Et m’a promené à l’école du diacre
Pour recueillir les connaissances du sot.
— Mon garçon, étudiez dur, dis-tu,
Et vous serez quelqu’un à temps!
J’ai écouté, étudié, forgé à l’avance,
J’ai fait ses études. Mais tu as menti.
Qu’est-ce que je suis maintenant ? Mais peu importe!
Nous avons parcouru le droit chemin, toi et moi,
Nous n’avons pas triché, compromis
Ou vécu le moindre mensonge.
Alors marchons sur mon cher destin !
Mon humble, véridique, ami fidèle!
Continuez à marcher sur: il se trouve la gloire;
March forward - c’est mon testament.
Comment Le Creusot, berceau industriel ravagé, a su rebondir,
Comment Le Creusot, berceau industriel ravagé, a su rebondir, (Proposé par ALI) Dévastée en 1984 par la faillite de sa sidérurgie, la ville, trente ans plus tard, a retrouvé tous ses emplois et une économie solide. Récit d'un combat acharné. Des murs en briques rouges du XIXe siècle d'où sortent des cheminées de hauts-fourneaux, de longues usines aux toits en biseau, des adresses qui ne cachent pas leur origine : rue de la Verrerie, rue de la Fonderie, rue de l'Etang-de-la-Forge, rue de l'Industrie… "Le Creusot n'est pas une ville comme les autres. Il n'y a pas de centre. La cité s'est développée autour des usines de la famille Schneider", explique le maire socialiste, David Marti. Il y avait du charbon à Montceau-les-Mines, à vingt kilomètres de là, et du fer dans les mines de Mazenay. Le berceau rêvé pour l'industrie métallurgique, toujours vivante aujourd'hui ; comme si la plus grande faillite de l'histoire ...
Commentaires