Philippe Martinez est candidat pour un nouveau mandat à la tête de la CGT
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Philippe Martinez est candidat pour un nouveau mandat à la tête de la CGT
Ouest-France/AFP - Proposé par Ali GADARI
Philippe Martinez à Caen pour l'inauguration des nouveaux locaux de la maison des syndicats du Calvados, le 25 avril 2018. | ANTOINE SOUBIGOU / OUEST-FRANCE
Le secrétaire général de la CGT a annoncé ce mercredi 30 janvier qu’il se portait candidat pour sa succession. Il est pour l'instant le seul à se présenter.
Philippe Martinez, le secrétaire général de la CGT, a annoncé mercredi en interne qu’il se portait candidat pour un nouveau mandat à la tête de la confédération, ont annoncé des responsables syndicaux.
Philippe Martinez, 57 ans, est pour l’heure seul candidat au poste de secrétaire général de la CGT, a précisé l’une de ces sources. À la tête de la confédération depuis le 3 février 2015, son élection doit se tenir lors du congrès de la CGT, prévu du 13 au 17 mai à Dijon.
A la tête de la confédération depuis le 3 février 2015, Philippe Martinez a vu son syndicat perdre sa première place au profit de la CFDT en décembre.
Cet adepte d'une ligne « contestataire » qui tranche avec celle de son prédécesseur, Thierry Lepaon, a fait toute sa carrière à Renault Boulogne-Billancourt depuis 1982 comme technicien.
« Parfois trop idéologiques »
Il a démissionné du parti communiste en 2002 pour des raisons qu'il garde secrètes. C'est donc le premier dirigeant CGT à ne pas avoir de carte au PCF, dont il garde toutefois un « certains nombre d'idéaux » et un discours appuyé sur la « lutte des classes ».
Au delà des manifestations et des grèves qui sont ses outils de contestation de prédilection, il porte des propositions constantes depuis son arrivée qui tranchent avec le discours ambiant. Il milite pour une semaine de 32 heures, un smic à 1 800 euros bruts mensuels (contre 1 521 euros actuellement), la retraite à 60 ans, et s'oppose au versement de dividendes aux actionnaires.
Début janvier, il avait déclaré son intention de modifier la ligne de la CGT, pour qu’elle redevienne « le syndicat de la feuille de paie et du carreau cassé ». Il avait ajouté :« Si nous sommes passés deuxièmes, c’est parce que nous sommes parfois trop idéologiques et pas assez concrets. »
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