La justice européenne a rejeté ce mercredi un recours de la présidente du Rassemblement national (RN) Marine Le Pen pour faire annuler un recouvrement de plus de 41.000 euros réclamé par le Parlement européen pour l’emploi douteux d’un assistant parlementaire.
La justice européenne a rejeté ce mercredi un recours de la présidente du Rassemblement national (RN) Marine Le Pen pour faire annuler un recouvrement de plus de 41.000 euros réclamé par le Parlement européen pour l’emploi douteux d’un assistant parlementaire.
Article de 230 minutes/AFP - Proposé par Ali GADARI
La justice européenne a rejeté ce mercredi un recours de la présidente du Rassemblement national (RN) Marine Le Pen pour faire annuler un recouvrement de plus de 41.000 euros réclamé par le Parlement européen pour l’emploi douteux d’un assistant parlementaire.
Le Tribunal de l’Union européenne « après avoir examiné l’ensemble des arguments développés par Marine Le Pen, les écarte ou les rejette faute de preuves ou de fondement juridique », précise un communiqué de la juridiction établie à Luxembourg.
Le garde du corps de Marine Le Pen concerné
La cheffe de l’extrême droite française, qui préside le RN (ex-FN), avait réclamé l’annulation d’une décision du Parlement du 6 janvier 2017 selon laquelle un montant de 41.554 euros avait été « indûment versé » dans le cadre d’un contrat de travail et devait être recouvré.
Cette somme concernait le garde du corps de Marine Le Pen, Thierry Légier, rémunéré comme assistant. Ce contrat portait sur un emploi à temps partiel d’assistant local sur la période du 1er octobre au 31 décembre 2011, rappelle le communiqué.
Marine Le Pen a été députée au Parlement européen de 2009 à 2017.
20 minutes/AFP
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