NON ELLE N'A PAS CHANGE







           NON ELLE N'A PAS CHANGE

Je n'aime pas madame Le Pen et son parti, qu'elle le veuille ou non, c'est un parti extrémiste dangereux pour les intérêts de la FRANCE. Elle surf sur les problèmes sociaux, s'appropriant tous les conflits en propre. Une partie importante du peuple français croit en elle, à sa vocation de sauver la FRANCE. Elle les trompe en toute conscience, le populisme, le rejet des autres n'est pas la solution. L'EUROPE nous a fait vivre en paix durant 70 années et peut nous en donner encore autant si non davantage. Ce ne sont pas les immigrés qui prennent notre argent ou notre travail mais Macron et ses sbires collaborateurs inconditionnels des banquiers, Macron vient de chez Rootschild, des grosses sociétés qui délocalisent, ce n'est pas **Mohamed ben machin** qui délocalise en POLOGNE, hein les gens du nord avec WIRPOOL par exemple, c'est pas l'immigré qui a fait cela mais bien les patrons qui trouvent encore plus de fric en faisant travailler les polonais à un taux bien inférieur à celui des français. Réfléchissez camarades, amis, frères, Le Pen est un produit dangereux!
Ali GADARI 





  Marine Le Pen associe marche contre          les violences sexistes                                et "codes culturels islamistes"


La patronne du Rassemblement national est visiblement très agacée par l'espace "non-mixte" de la marche contre les violences faites aux femmes.

                 Huffpost/ Anthony Berthelier - Publié par Ali GADARI
POLITIQUE - C'est une allusion étonnante, dont Marine Le Pen est coutumière. La présidente du Rassemblement national a relayé le message du collectif #noustoutes qui appelle à la mobilisation, ce samedi 24 novembre, contre les violences faites aux femmes et l'inégalité entre les sexes. Mais loin de lui apporter son soutien, elle a ironisé sur l'espace "non-mixte" mis en place dans la marche, rapprochant l'initiative aux "codes culturels" islamistes.
"J'ai l'impression que les 'codes culturels' islamistes s'imposent encore plus vite que prévu..." a-t-elle écrit, faisant le rapprochement entre un carré réservé aux femmes dans la manifestation et l'idéologie radicale des islamistes autour de la charia notamment.
Mais ce que Marine Le Pen ignore, ou feint de ne pas savoir, c'est que la non-mixité dans le féminisme ne date pas d'hier et n'a aucun rapport avec l'islamisme.
On en retrouve par exemple des traces pendant la Troisième république. Cette non-mixité devait permettre aux associations féministes d'affirmer leur indépendance vis-à-vis des hommes et éviter qu'ils se mettent en avant. Elles entendaient montrer qu'elles étaient capables de réaliser les tâches habituellement réservés au genre masculin.
Mais c'est dans les années 1970 et le mouvement de libération des femmes, que la non-mixité prend vraiment racine dans le féminisme. Au sein du MLF, la non-mixité s'impose dans les groupes de paroles ou les assemblées générales. Mais les hommes sont les bienvenus dans d'autres événements, à la condition qu'ils acceptent les règles du mouvement.
Mais visiblement, trente ans plus tard, le concept de "non-mixité" reste encore très sensible. Comme en témoigne le message épidermique de Marine Le Pen et les réactions outrées au happening de la ville de Nantes en vue de la Journée internationale pour l'élimination de la violence faite aux femmes. La cité tenue par la maire socialiste Johanna Rolland a fait installer un panneau appelant les hommes et les femmes à ne pas marcher du même côté de la rue. Une façon de sensibiliser les habitants à la question du partage de l'espace public.
Mais beaucoup, dont des personnalités politiques, ont témoigné de leur incompréhension. Florian Philippot des Patriotes ou l'ancien Républicain Thierry Mariani ont par exemple dénoncé cette "dérive d'apartheid."

Dans le sillage Me Too

Pas de quoi arrêter toutefois les milliers de personnes qui doivent se rassembler Paris (et ailleurs) ce samedi 24 novembre pour dire "Stop aux violences sexistes et sexuelles" dans le sillage du mouvement #MeToo. Dont de nombreux hommes à l'image de Guillaume Meurice, Tristan Lopin ou Manu Payet qui demandent aux "premiers concernés" de se rendre solidaires comme vous pouvez le voir ci-dessous.

À l'écart des "gilets jaunes", les défilés, prévus dans une cinquantaine de villes (Paris, Marseille, Lyon, Toulouse, Lille, Nantes...), pourraient se parer de violet, couleur choisie par le mouvement #NousToutes. "Cette mobilisation est inédite" dans son ampleur, a souligné samedi matin sur France Inter Caroline De Haas, une des instigatrices de ces marches féministes.
"D'habitude", à l'occasion de la Journée internationale pour l'élimination des violences faites aux femmes, "on est quelques centaines, quelques milliers. Là on va être partout en France des dizaines de milliers de personnes", a poursuivi la militante féministe. À Paris, les féministes - femmes et hommes - défileront à partir de 14 heures, d'Opéra à République, pour réclamer la fin de "l'impunité des agresseurs", ainsi que "des mesures ambitieuses et des moyens financiers suffisants pour que l'action publique mette la lutte contre les violences en top des priorités".
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